Le pleurnichard et l'alien [Pv : Matteo]

On avait eu un cour d'éducation physique un peu plutôt. Nous avions fait notre cours avec la classe de Pique. Un élève, je ne sais plus trop pourquoi, est venu me voir. Il a commencé à ce moquer du fait que je résistait pas vraiment à la chaleur. Bien sûr, j'avais répliquer et la dispute en était presque devenue violente. C'est le prof qui est venu calmer le jeu. Aussitôt que le cours eu fini, je suis venu ici, au jardin royal. C'est calme et il est rare de voir les autres venir ici. Je suis venu me réfugier car j'avais envie de pleurer. Ce genre d'altercation n'étaient pas rares, mais à chaque fois, j'avais envie de pleurer, de me cacher. Je n'ai jamais apprécier d'être aussi faible. C'est pour ça que j'attends d'être seul pour pleurer.
J'étais caché derrière un buisson. Je pleurais et je tremblais. Ce que je déteste ça être comme ça ! On dirais une mauviette ! J'en voulais à tout le monde, mais plus particulièrement à moi. J'avais été imbécile d'envenimer et puis de me sauvé comme ça à la fin de mon cours. J'avais eu l'air d'un idiot face à tout le monde. Ceux de la classe de Pique comme ceux de ma classe, celle des Joker.
Je me repliai un peu plus sur moi-même. Penser à tout ça, ça me faisait mal. J'avais l'impression d'être inutile. C'était dans des moments comme ceux là que j'avais le plus envie d'être avec Yuka, parce qu'avant qu'elle ne perde la mémoire, elle venait me voir et elle me remontait le moral. J'avais tellement envie de revenir dans le passé. Avant qu'elle ne soit amnésique. J'aurais tellement aimé qu'elle soit là pour me remonter le moral, comme avant. Je voulais me roulé en boule et disparaître. Je me demande encore ce qui m'en empêchait.
J'avais Tenshi à côté de moi qui me disait que ce n'était rien, que ça ne servait à rien de m’apitoyer sur mon sort. Il me disait d'aller de l'avant. Pourtant, je ne voulais rien entendre. Je ne voulais pas être désagréable avec lui, mais je voulais être seul j'avais envie de lui dire partir et de revenir dans mille ans. Mais je n'ai rien dit, car je savais que si je me retrouvais seul, je serais encore plus déprimer. Tenshi le savait lui aussi, car malgré le fait que je ne l'écoutais pas, que je lui répondais de façon sec et presque agressive , il restait à côté de moi. Il avait cessé de parler, mais sa présence m'avait calmé.

La dernière période était enfin arrive. Mais, toi, tu n’avais pas hâte à la dernière période, n’est-ce pas? Petite Yuki, toi tu aimais bien l’école et la fin des cours signifiait le retour dans ton petit appartement où tu craignais toujours que les appels de ta mère soit de mauvais augure.
Là, tu étais en cours d’éducation physique, ou on peut aussi tout simplement dire de sport. Le soleil tapait fort cette après-midi-là et l’été semblait vouloir s’imposer. Et oui, ce n’était pas simplement parce que vous deviez courir durant le cours que vous aviez chaud. Tu venais de te trouver un petit coin à l’ombre d’un arbre afin de te protégé du soleil et de profité d’une petite pause dans le programme quand une dispute éclata. Tu n’y aurais probablement pas porté attention si l’un des antagonistes n’avais pas été quelqu’un de ta classe. C’était Satoshi. Tu t’approchas, prête à intervenir, lorsque la dispute s’amplifia presque jusqu’à en devenir violente. Mais, le professeur intervint avant toi. Le cours continua, mais tu n’allas pas voir ton ami, pas durant le cours, il devait déjà se sentir frustré ou humilié. Tu n’allais pas en rajouté. Mais, lorsque le professeur vous laissa partir tu avais pris la décision d’allé le voir. Surtout qu’il n’était pas partie en direction des vestiaires et était partit en direction du jardin royal sans même se changé. En fait, il t’avait d’avantage donné l’impression de s’enfuir que de partir. Il avait quitté le terrain avec précipitation et tu avais cru décelé du chagrin dans son regard. Vous étiez peut-être des amis, mais tu ignorais beaucoup de chose de ce jeune homme… et lui de toi.
Donc, cher Yuki, tu le suivis jusqu’à sa cachette, même si tu ignorais que ça en était une. Mais, avant tu avais pris soin de demander à Chisiki d’aller demander à ton professeur de science s’il connaissait un bon livre sur la physique nucléaire. Mais, tu n’avais pas eu d’autre choix que de laisser Yami t’accompagné. Ton ami se dissimula derrière un buisson, puis tu entendis des pleurs. Ô, pas très fort, mais tu savais les reconnaître parmi les sifflements du vent et les bruissements des arbustes. Ton cher William aussi agissait de la même manière lorsqu’il était triste. À la pensé de cet être aimé, un brin de tristesse t’envahit immédiatement. Mais, tu le chassas, tu n’avais pas le temps de t’apitoyer. Déjà, le shugo chara de ton ami essayais de le consolé. Cela n’avait pas l’air de fonctionné. Alors, tu t’avanças et te pencha pardessus le buisson. Le spectacle que tu y vis t’attrista beaucoup. Replier sur lui-même Satoshi pleurait et tremblait. Tu passas le buisson et lui demanda :

- Sa-Satoshi… ça va?

Quelle question idiote! Bien sûr que ça n’allais pas puisqu’il pleurait. Tu connaissais déjà la réponse. Avant qu’il n’ait répondu à ta question, tu t’assis à côté de lui. Toi aussi tu étais encore en uniforme de sport et, tu l’ignorais peut-être, mais il t’allait très bien et tes cheveux étaient rassemblés dans une longue queue de cheval. Mais, tu te fichais pas mal de quoi tu avais l’air en ce moment, ton ami pleurait et tu n’aimais pas voir les gens pleuré. Tu savais trop bien ce qu’étais la tristesse. En penchant légèrement la tête, tu répondis tout seul à ta question :

-Désolé, c’est évident que ça ne va pas… je… est-ce que je peux faire quelque chose?

T’as question était un peu maladroite, si ce n’étais pas beaucoup. Mais, tu n’y pouvais pas grand-chose, tu étais un peu maladroite toi aussi. Yami flottait paisiblement à côté de toi, son regard bleu passais entre vous trois. Puis, il décida d’aller faire un tour, comme pour te laisser essayer de remonter le moral à ton ami. Mais, ce que tu ignorais, c’était qu’il s’était sentie suivis et qu’il allait vérifier. Mais, c’était aussi un peu une excuse pour vous laisser seul. Mais, il avait raison, vous aviez belle et bien été suivis par un jeune homme, même si tu ne t’en avais pas aperçu.


[Ça c’est un poste de rp complet Matteo et si tu veux devenir Joker, c’est quelque chose de semblable que tu devras faire, même si j’en écris plus que la moyenne. C’est un peu plus comme Satoshi, même que son poste est limite. Et que ça qualité de rp est plus basse qu’à son habitude (Désolé!) Donc, je veux que tu fasses un poste de 10 lignes minimum. Décrit un peu ce que ton perso voit et ressent. Et ce qu’il fait aussi. Ce n’est pas la mer à boire 10 lignes!]