Welcom in the Joker class

Tu venais de raccrocher le téléphone. Encore de mauvaise nouvelle. Pourquoi d’on le destin semblait-il s’acharner autant sur toi, sur ton frère? Si les gens se réincarnaient vraiment et que le karma existait vraiment, qu’avais-tu donc fait dans tes précédentes incarnations pour mérité la souffrance de savoir ton frère, cet être qui t’était si cher, au bord du gouffre insondable de la mort? Tu avais peur, ô oui tu avais très peur de perdre ce garçon qui était à la fois ton meilleur ami, ton plus fidèle confident et ton petit frère adoré. Chaque fois que ce foutu téléphone sonnait, tu avais peur que ce soit pour t’apprendre la mort de cet être tant aimé, de ton cher William. Cette fois-ci, la voix tremblante de ta mère t’avait annoncé que son état s’était dégradé un peu. Un peu, il n’y avait pas de quoi s’affoler, normalement. Pourquoi ce foutu cancer s’acharnait-il sur lui? Tu aurais bien aimé rester chez toi, mais ça n’aurait rien changé. Ça aurait même été pire. L’école, c’était le meilleur moyen de ne pas repenser sans cesse à ton frère. Mais, tu te sentais égoïste. Pendant que lui souffrait, toi tu étais ici, dans ton petit appartement tout payé et tu allais dans une belle grande école. Mais, tu n’avais pas le choix, on te l’avait demandé. Tu mis ton uniforme, attrapas la moitié d’un croissant même si tu n’avais pas d’appétit et te dirigeas vers la porte de ton deux et demie. Chisiki essayait de te remonter le moral, mais elle ne réussit pas. Ton autre shugo chara volais juste derrière toi, sans dire un mot comme d’habitude. Yami n’était pas des plus bavard, mais sa simple présence tout comme celle de la petite fille verte te faisaient un peu de bien. Ton frère et tes shugo étaient tes plus précieux amis. Après venait Satoshi Hiwatari. Il avait été surpris quand il t’avait revu après les vacances avec un shugo en plus.
Tu étais déjà dans la rue, mangeant sans moindre appétit ton croissant. Tes pas te menèrent d’eux-mêmes jusqu'à ta belle école. Pour être belle, elle était belle. Une école comme tu n’aurais pas pensé pouvoir en faire partie, faute d’argent. Sans cette bourse, jamais tu n’aurais pu payer les frais d’inscription. Dire que certains te pensaient parmi la haute société. Que de balivernes ! Tu te dirigeas vers ta classe. Tu y déposas tes choses, pris tes cahiers et tes crayons et entras dans la classe adjacente. Ce matin, tu avais un laboratoire. Tu pris place à la table numéro 1 et feuilletas un recueil sur la science. Comme à ton habitude, tu avais été la première à arriver en classe. C’est vrai que c’était assez souvent à égalité avec Satoshi, mais tu arrivais la première pareil. Cependant, aujourd’hui Satoshi n’arriva pas en même temps que toi ou un peu après. Les autres élèves arrivèrent, leurs shugo chara les suivants ou les devançant selon les cas. Bientôt, vous étiez cinq. Il ne manquait plus que ton ami et le professeur dans cette grande salle de cours. De toute c’elle que tu avais vu, les deux classes que possédait les réputés Jokers étaient tes préférés et de loin. Avec leurs grandes armoires et leurs étagères remplit de livres et d’autres choses fascinantes et leur aspect calme, elle était un parfait lieu de travail. Assise sur le tuyau du robinet, Chisiki attendait que le cours commence. Plus calme et surveillant la salle, Yami s’étais posé sur ton épaule. Quelques secondes avant que la cloche ne sonne, Chisiki dit en écho à une penser que tu avais eux quelques instants plus tôt :

-Tien, Satoshi est définitivement absent du cours.

Depuis que tu le connaissais, tu ne te rappelais pas l’avoir vu arrivé en retard à un cours et de la mémoire, ô ça tu en avais Yuki. La cloche sonna et vous étiez seulement cinq dans cette classe qui avait une capacité d’environ une trentaine d’élèves. Le professeur poussa la porte et entra. Chisiki demanda aussitôt :

-Qu’allez-vous nous apprendre aujourd’hui sensei?!

Elle était enjouée, comme chaque fois qu’elle avait la possibilité d’apprendre. Le professeur eux un petit sourire amusé. C’était dur d’apprendre quelque chose de nouveau à cette petite encyclopédie sur patte. Puis, surprennent tous les élèves, une autre personne fit son entrée. Déjà, tu pouvais savoir que c’était un rebelle, juste à la façon dont il était habillé. Un short noir avait remplacé son bas d’uniforme, sa cravate était ouverte et il portait un manteau bleu turquoise. Rapidement, tu le détaillas. De longs cheveux dorés et tressés, des yeux de couleur également dorée, une petite taille et une bonne musculature. Ça ne te rappelait rien? Ne l’avais-tu pas déjà vu quelque part dans ton école. Il ne te semblait bien que oui. Mais, de la à mettre un nom sur ce visage quelque peu familier… Il te semblait que son nom finissait par ki ou yoki… Ce n’était pas besoin de te casser la tête pour le savoir, le professeur allait sûrement le dire à vous cinq, élève de la classe de Joker. À son entrée, quelques murmures s’étaient élevés et Yami avait arrêté de balayer la classe de son regard bleu pour le fixer sur le nouveau venu. Il avait dû le détailler tout comme toi. La petite fille verte qui était assise sur le robinet s’était redressée, curieuse de savoir qui était le petit nouveau. Une chose était claire dans ta tête : le professeur allait sûrement le mettre temporairement en équipe avec toi, car ton coéquipier était absent et que les laboratoires se faisaient en binôme.

La journée commençait toujours tôt pour moi, la maison était entièrement endormie quand je me levais le matin. Cela faisait longtemps que je préparais moi même le petit déjeuner avec soin et en quantité suffisante pour toute la famille, avant de monter me changer. Après cela j'allais m'asseoir et attendre mes parents qui descendaient tout les jours à la même heure. Aujourd'hui n'échappa pas à la règle, toujours ce même foutu silence quand je descendais les escaliers. J'ouvris tout les volets pour faire entrer le soleil, il faisait beau aujourd'hui mais cela me laissais complètement indifférent. Ce dont je rêvais c'était d'un peu de bruit et le soleil n'en provoquait pas. Laissant le petit déjeuner refroidir sur la table, je monta me changer, enfila un short noir et jeans qui remplaçait le short horrible de mon uniforme, une chemise blanche et ma cravate que je ne prenais jamais le soin de faire, cela m'embêtais tellement! Je descendis en suite attendre mes parents qui prenaient toujours un temps fou à descendre, aujourd'hui ils prenaient du retard, alors je commença à manger sans eux. Le foutu silence qui régnait ne faisait que me rappeler de douloureux souvenirs. Cela me coupa littéralement l'appétit, mes parents descendirent enfin au moment où je m’éclipsais. Ma mère, qui avait malheureusement ue vent de mon entrée dans la classe des Jokers vint m'importuner, elle voulait que je sois parfait! Ne pouvant me forcer à me changer, elle se contenta de faire mon noeud de cravate à ma place. Râlant, j'enfila ma veste et attrapa mon cartable avant de partir. J'avais pris soin de sortir avec une heure d'avance, je pris la direction le parc où je venais tout les jours avant d'aller en classe ou quand quelque chose me rendait triste et que je me cachais. Kurai n'avait pas dit un mot depuis son réveil, ce qui me sembla étrange venant de lui, peu être était il silencieux pour une raison spéciale mais le fait est qu'il ne quittais plus le deuxième oeuf dont nous attendions tout deux l'éclosion. Plutôt que de me suivre en rigolant, le petit bonhomme se cachait dans mon sac, lorsque nous arrivâmes dans le parc, il n'y avait encore personne. C'était un véritable désert, assis sur un banc, je m'ennuyais. C'est à ce moment là que Kurai sorti de sa cachette, il s'accrocha aux plis de ma veste pour monter et s'installer dans ma capuche comme il le faisait régulièrement. Cela m’énervais toujours car il savait voler mais ne le faisais jamais! Ce flemmard de première ne savait voler que quand un chien lui courrait après. Quelques minutes plus tard nous reprenons la route, il faut se rendre en classe à l'heure. Sur le chemin, je réfléchissais, je n'allais pas être vraiment perdu puisque je fréquentais toujours la même école qu'avant mais je risquais de ne pas m'habituer à ma classe et par me tromper de salle, je risquais de retourner dans la classe de Pique sans m'en rendre compte et j'aurai l'air malin! D'après mon nouvel emploi du temps, j'allais en cour de science. Je me perdis pour la première fois dans les couloirs. Quand j'arriva devant la salle, le professeur souriais et il entra juste devant moi, j'observa discrètement l'endroit, la salle était grande et pourtant il n'y avait que très peu d'élèves, Kurai était assez impressionné, ayant remarqué que tout les élèves avaient des chara, il s'était caché prêt de mon oreille pour me chuchoter quelque chose que je ne pris pas le temps de comprendre parce que ce très cher Kurai faisait certainement des réflexions idiotes. Le calme avait cessé de régner à mon entrée et cela me semblait louche. Kurai sorti soudainement de sa cachette, il devait avoir remarqué quelque chose. Se hissant en dehors de ma capuche, il plana jusqu'à mon cartable qu'il se mit à fixer, puis il remonta jusqu'à la hauteur de mon visage. Le professeur, debout à coté de moi, avait remarqué les allé et retour de Kurai et pensa qu'il s'ennuyait. Il me présenta donc à mes camarades:

- Chers élèves, je vous présente Kaito Ideyoki, il a été transféré de la classe de Pique. Il va certainement être difficile pour votre nouveau camarade de s'habituer à notre classe et à nos salles alors je vous remercierai de bien vouloir l'aider. Yuki, puisque Satoshi n'est pas là, tu feras équipe avec Kaito pour ne pas déranger les binômes.

J'alla donc m'asseoir à la table que m'indiqua le professeur bien que j'aurai pu faire sans car il n'y avait qu'une table à une personne était seule. Je me demanda l'espace d'une minute si j'étais de trop dans l'ambiance de la classe et si j'allais réussir à m'entendre avec eux. Je ne connaissais aucuns d'eux, de vue certainement mais sans plus, je n'avais pas pour habitude de discuter avec les autres élèves, seuls quelques perles de mon ancienne classe étaient mes amis, je les trouvais spéciaux et eux me comprenaient, certains même étaient des proches de longues date qui savaient tout de la manière don ma soeur était décédée et de ce que toute ma famille avait subi. Je revis de vieux souvenirs qui me hantaient depuis. Kurai l'avait remarqué, il me regardait tout en planant à coté de moi.

- Chers élèves, je vous présente Kaito Ideyoki, il a été transféré de la classe de Pique. Il va certainement être difficile pour votre nouveau camarade de s'habituer à notre classe et à nos salles alors je vous remercierai de bien vouloir l'aider. Yuki, puisque Satoshi n'est pas là, tu feras équipe avec Kaito pour ne pas déranger les binômes.

Tu ne t’étais pas trompé, son nom finissait bien par yoki. Et son prénom… Kaito… cela ne signifiait-il pas voleur? Étrange… Un autre détail avait attiré ton attention, il venait de la classe de Pique. Selon ce que tu savais, plusieurs des élèves de cette classe étaient à la solde d’Easter, du moins, c’est ce que tu avais entendu.
Assise au premier rang, tu avais aussi remarqué l’étrange manège du shugo chara aux cheveux violets du nouvel élève. Cette petite créature c’était laisser plané jusqu’au cartable que tenait son propriétaire, l’avait examiné puis avais remonté jusqu’au niveau du visage d’Ideyoki. Tu ne pus t’empêcher de penser que ce petit être ailé essayait de prévenir son compagnon qu’il s’était trompé de cartable. Tu souhaitais fortement te tromper, car tu ne voulais pas que ce jeune homme se ridiculise devant les cinq personnes qui composaient sa classe en plus du professeur. C’était quand même sa première journée en tant qu’élève de la renommé classe Joker.
Quand il vint s’assoire à côté de toi, tu lui dis un petit bonjour et lui accordas un petit sourire. Yami faisait maintenant passer lentement son regard inquisiteur du garçon aux cheveux blonds à son shugo. Ce regard avait de quoi en mettre plus d’un mal à l’aise.
Une seconde à peine s’écoula après ton bonjour avant que ta petite Chisiki vienne se placer devant ton coéquipier temporaire. D’une voix enjouée, elle se présenta :

- Bienvenue dans la classe Joker Kaito. Je me nomme Chisiki. Enchanté. Et celui qui vous fixe depuis tout à l’heur c’est Yami.

Comme si le fait de ce l’être fait dire, à moins que ce soit la façon d’on l’avait présenté la petite fille aux cheveux verts, ton second shugo détourna le regard. Avant de s’envoler, il inclina légèrement la tête en direction d’Ideyoki. Ce dernier l’ignorait sûrement, mais toi tu savais que c’était la façon de Yami de saluer quelqu’un qu’il jugeait correcte, non, plutôt comme un égal. Chisiki s’approcha un peu du petit garçon aux cheveux violet et lui demanda :

- Et toi, comment te nommes-tu?

C’est le moment que choisit ton professeur de sciences pour venir déposer un paquet de feuilles devant le jeune homme, le même que tous les élèves de ta classe possédaient. Le document faisait au moins deux ou trois centimètres d’épaisseur. Sur la première feuille, il était marqué : NOTE DE COURS SCIENCE CLASSE JOKER. Et oui, il allait avoir pas mal de travail à faire pour rattraper le reste de la classe cet élève! Mais, tu allais essayer de l’aider. De toute façon, si ça ne venait pas de toi, Chisiki t’y forcerait. Une chance, elle n’aura sûrement pas à te forcer la main. Le professeur s’adressa directement à ton voisin de table :

- Beaucoup de travail t’attend Ideyoki, mais si tu es près à sacrifier quelques un de tes midis, tes professeurs seront ravis de t’aider. Tu peux aussi t’adresser à n'importe quels élèves de cette classe et je suis sûr qu’ils te répondront avec joie. J’ai hâte de voir de quoi tu es capable.

Il déposa une feuille entre toi et le nouveau et tu te penchas pour voir quel sera le laboratoire d’aujourd’hui. Un petit sourire satisfait s’afficha sur ton visage quand tu vis que vous alliez fabriquer du nylon. Ça ne te semblait pas si difficile que ça. Sur cette feuille, il y avait cinq questions et la liste du matériel. Ayant fini de distribuer les feuilles, le professeur expliqua le cours :

- Vous avez le cours pour réaliser ce laboratoire et répondre aux questions. N’oubliez pas de rédiger votre protocole. Vous avez le droit à tous vos outils, les livres en arrière y compris. Si vous finissez avant la fin du cours, trouvez-vous un moyen de vous occuper en silence.

Il avait fini de parler, tu te levas donc comme tout le monde pour aller chercher le matériel en arrière. Tu fis signe à ton coéquipier de te suivre et te saisis de la feuille au passage. Le matériel requis était situé dans deux armoires. L’une d’elles, celle qui contenait les erlenmeyers, les béchers, les éprouvettes et autre contenant de verre et objet servant à la manipulation était vitrée. L’autre qui contenait les substances chimiques était en métal et possédait un verrou qui, pour l’heure, n’était pas verrouillé.

Spoiler:

[J'ai encore plus de retard mais tout cela est expliqué en détail! Pour ce qui est de l'activité que tu utilises dans ton RP, je l'ai dans mon livre de physique. >_<]

Lorsque je m'étais rendu dans le fond de la salle à la recherche du matériel nécessaire pour réaliser l'activité demandée par le professeur de science -qui me sembla un très bon prof-, Kurai ne m'avait pas suivit comme il était habitué à le faire, il s'état fourré dans mon cartable et la raison en était simple: il surveillait son "petit frère", l'oeuf qui restait encore dans mon sac et qui m'accompagnait partout. Kurai se comportait un peu comme un aîné envers cet oeuf et moi aussi j'attendais qu'il éclose, quand Kurai était arrivé cela avait été une véritable surprise, j'avais pris cela comme une sorte de miracle et sa personnalité mettait un peu de bruit dans ma vie. Pas assez pour la changer complètement mais je me sentais mieux depuis qu'il était là, j'avais l'impression d'être moins endeuillé. Une fois revenu avec le matériel, j'avais tout posé sur la table et avait ouvert mon cartable pour y attraper mon shugo par la capuche de son sweat noir, je lui avais lancé un regard tout aussi noir et avait ajouté à cela:

-Tu fais quoi là? Aie l'amabilité de le lancer tranquille veux-tu?! Il ne va pas se réveiller juste parce que tu vas l'embêter.

Je ne pu m'empêcher de penser "pas comme moi!" car effectivement, Kurai me réveillait tout les matins en criant et en me donnant des claques de ses petites mains si j'essayais de me rendormir, bien sur je n'avais pas mal mais à force cela devenait laçant! Vexé, Kurai alla se poser sur ma trousse et m'adressa une mine boudeuse, ce n'était vraiment qu'un gamin dans le fond. Un gamin moqueur et sarcastique mais un gamin quand même! Je lança un regard vers le pavé que formait les feuilles des cours à rattraper, cela n'allait pas être un problème, j'avais le calme nécessaire et je savais me servir de ma tête malgré mes allures de rebelle tout à fait idiot qui ne cessait de perturber le cours ou de prendre sa chaise pour un lit confortable en s'y endormant! Ils travaillaient tous d'arrache-pied dans cette classe? On devait être six et tout le monde semblait se mettre au travail, dans mon ancienne classe certains se permettaient de ronfler... Ils étaient rares mais il y en avait tout de même, des qui ne savaient pas se tenir droit et qui confondaient le cours et la nuit! Le calme régnait et je ne tarda pas à me mettre moi même au travail. Je lu les questions dans ma tête, cela n'avait pas l'air sorcier et avant tout il fallait effectuer la manipulation. A nous deux, il ne nous fallut pas longtemps pour cette étape. Mon shugo chara, qui avait fini de bouder, faisait mine de commanditer les opérations, il vint jusqu'à mon oreille pour me traiter d'intello, je le chassa sa lui faire mal et le vit se mettre à bouder à nouveau. Je n'aimais cette manie d'insulter tout le monde, je me demandais comment il pouvait être venu de moi, quel points communs nous avions! Peu être à l’intérieur j'avais quelques points communs avec lui mais très peu car je ne 'imaginai pas insulter les gens dans la rue à pleine voix comme il ne se gênait pas pour le faire, de toute manière ils ne le voyaient pas prétendait il! A peine une minute plus tard, ce très cher Kurai était retourné dans mon cartable, je ne l'en fis pas sortir cette fois-ci, il pouvait bien faire ce qu'il voulait. Tentant aussi bien que possible de répondre aux questions posées dans l'activité, j'engagea la conversation avec ma voisine, en chuchotant évidement. Les autres élèves autours de nous faisaient exactement la même chose, c'était cela un binôme, un vrai: on discutait entre nous et on fabriquait nos réponses ensemble, habitué à travaillé tout seul, il n'était pas dans mes habitudes de discuter avec mon voisin de table mais j'essayais quand même de ne pas en faire trop et de consulter ma voisine. Tout ce passa bien, nous avions rédigé notre protocole expérimental et fait le schéma sans problème, non en étions à la troisième question: "Décrire les réactifs ( avant la réaction )." lorsque Kurai sorti, tout affolé, de mon cartable. Je ne l'avais pas beaucoup vu dans cet état, brisant le calme qui régnait, il se mit à crier:

-C'est terrible, terrible j'te dis!

Je leva les yeux, fixa le plafond une demi seconde puis attrapa mon cartable et le posa sur les genoux. Je l'ouvris et lui demanda de m'expliquer ce qu'il y avait de si terrible. Il me raconta une histoire abracadabrante à base de chien, de rivière, de "petit frère" et de tambours de machine à laver, impossible d'y croire sans être complètement manchot! Je le regarda bien, il avait des mèches dans tout les sens, signe qu'il s'était encore endormi dans mon cartable. Je lui expliqua:

-J'ai deux hypothèses: ou bien tu es tyrannique et ça t'amuse de me faire peur ou tu t'es endormi dans mon cartable et tu as pris ton rêve pour la réalité mais dans les deux cas tu déranges le cours.

Il fut assez fâché de s'entendre dire qu'il dormait et fit la moue pendant une bonne dizaine de minute. Il n'était pas du tout du genre à demander pardon et ne s'excusa pas auprès des autres élèves qu'il avait dérangé. Quant à mes deux hypothèses, je ne su jamais laquelle était vraie, j'avais bien ma petite idée mais je la garda pour moi.

Après avoir répondu rapidement à ta petite Chisiki, Kurai avait été se cacher dans le sac de ton compagnon de table. Après être revenu des armoires à matériel, tu disposas le matériel sur ta table de travail et tu vis Ideyoki saisir son shugo chara par sa capuche. Avec un regard noir, il lui dit :

-Tu fais quoi là? Aie l'amabilité de le lancer tranquille veux-tu?! Il ne va pas se réveiller juste parce que tu vas l'embêter.

L’amabilité de laisser qui tranquille? Tu te posas la question et émis une hypothèse à ce sujet. Peut-être avait-il comme toi un autre shugo chara qui se trouvait dans un œuf? Peut-être était-il éclot, mais qu’il voulait dormir ou était trop timide pour sortir? Si c’était la dernière option, tu savais que ton amie verte allait remédier à cela. Mais, tu préférais ta première supposition. Et tu avais raison. Cependant, ce n’était pas vraiment de tes affaires et tu ne pausas pas de question. Yami, lui, semblait tout à fait indifférent à tout ça. Peut-être commençait-il à regretter d’avoir d’abord accordé son attention à cette petite créature qu’il devait maintenant jugé d’étrange? Qu’importe, il fallait que tu te concentres un peu sur ton laboratoire. Le professeur avait beau avoir donné un laboratoire assez facile, tu le savais très sévère dans sa correction.
Vous avez commencé le laboratoire et la petite Chisiki ne ratait pas un seul de vos gestes. Yami quant à lui semblait observer tout sauf les manipulations que vous effectuiez. Toujours avec son air impassible, son regard allait d’îlot en îlot s’attardant souvent sur ton coéquipier et son shugo qui faisait mine de commanditer les opérations. Tu trouvais que ce shugo ne semblait pas vraiment avoir un caractère semblable à celui de son propriétaire. Un propriétaire qui méritait le qualificatif d’intello que venais de lui donner son shugo et qui valu à ce dernier de se prendre un petit coup du revers de la main. Et le revoilà qui se remettait à bouder! Tu te demandas un instant comment faisait Ideyoki pour endurer tout le temps cette petite créature qui semblait lui taper un peu sur les nerfs en ce moment. Ta petite Chisiki essaya d’engager la conversation avec lui, mais il préféra aller se cacher dans son sac. Tu ne pus t’empêcher de penser : drôle de shugo chara.
Tu te demandas même comment ton compagnon, qui malgré ses allures rebelles, était très intelligent et mature, pouvait avoir shugo chara aussi gamin et boudeur. Peut-être n’était-il pas tout le temps ainsi? Bref, vous avez continué votre laboratoire et tu découvris qu’il était assez agréable de travailler en équipe avec ce jeune homme. Durant votre travail, le professeur était passé près de vous spécialement pour interdire à ta petite encyclopédie sur patte de vous donnée la moindre réponse. Durant un examen une fois, il lui avait même demandé de t’attendre à l’extérieur de la classe pour être sûr qu’elle ne te soufflerait pas de réponse. Donc, vous étiez toutes deux habitués à vous le faire dire et dans un geste simultané vous avez toutes deux adressé un sourire à votre professeur. Il ne venait faire cette petite remarque que pour vous taquiner. De toute façon, il savait bien que tu n’avais pas besoin d’elle pour avoir des 110% dans tes examens.
Puis, lorsque vous aviez presque fini le travaille, une petite boule paniquée et criante sortit du sac de ton coéquipier, faisant lever les sept têtes qui étaient penché sur des feuilles. Eh oui, ton professeur aussi étais en trin de travailler. Il faisait quelques corrections. Et il envoya un regard réprobateur en votre direction. Cependant, il ne fit rien.

-C'est terrible, terrible j'te dis!

Évidemment, cette petite boule criante n’était nul autre que Kurai. Il venait de briser le calme de ta classe avec ses cris. Et ce n’était pas juste les élèves qui l’avaient regardé avec un regard réprobateur, les shugo chara de chacun avaient redressé la tête également. Puis, tous les élèves retournèrent à leurs travaux lorsqu’Ideyoki se mit à le réprimander, mais certains shugos continuèrent à observer la scène :

-J'ai deux hypothèses: ou bien tu es tyrannique et ça t'amuse de me faire peur ou tu t'es endormi dans mon cartable et tu as pris ton rêve pour la réalité, mais dans les deux cas tu déranges le cours.

Mais, avant de dire ces quelques phrases de reproche, ton compagnon avait saisi son sac, inquiet. Son shugo c’était mis à raconter une drôle d’histoire et Ideyoki n’aurait même pas eu à émettre ses deux hypothèses que tu te doutais déjà que Kurai avait fait un rêve. C’était évident. La petite fille verte qui t’accompagnait essaya de le calmer. Ce qu’il fit en se remettant à bouder. Curieuse comme tout, Chisiki alla donner un petit coup d’œil dans le sac d’où était sortie la petite tempête du nom de Kurai. Elle n’avait même pas demandé la permission! Ton shugo était décidément trop curieuse à ton goût. Cependant, même Yami avait porté son attention sur Chisiki, le sac, Ideyoki et Kurai. Ton shugo ressortit assez vite surtout quand elle t’avait entendu lui dire de revenir. Mais, elle avait eu le temps de voir le second œuf qui se cachait dans ce sac. Elle s’adressa à ton coéquipier :

-Tiens, toi aussi tu as un œuf de shugo qui n’est pas éclot comme Yuki?!

Ha, la, la, elle parlait un peu trop ta chère Chisiki… Une chance, elle ne l’avait pas dit assez fort pour que le reste de ta classe ne l’entende. Elle n’était pas comme Kurai, elle ne voulait absolument pas déranger les autres élèves de ta classe. Tu lui envoyas un regard de reproche et elle comprit qu’elle avait trop parlé. Seul Satoshi était au courant en dehors de tes deux shugo. Tu te dépêchas de changer de sujet :

-Il faudrait que l’on finisse notre travail.

Puis, tu retournas à ta feuille et aux deux questions auxquelles tu devais encore répondre. Pourquoi évitais-tu le sujet de ton œuf qui n’était pas encore éclot? L’une des raisons qui te poussaient à gardé le secret était la rareté des gens possèdent trois shugo chara. Tu ne voulais pas attirer trop l’attention sur toi. Du moins, c’était la raison que tu t’étais bricolée. En fait, c’était parce que tu n’aimais pas vraiment parler de toi et que cet œuf te faisait penser à ton frère. Ha, comme il te manquait ton cher William. Il t’avait toujours mieux comprise que tous les autres et il pouvait voir tes amis invisibles à la plupart des gens. Un éclair de tristesse passa dans ton regard, mais tu le chassas rapidement. Penser à ton frère te rendait triste, surtout qu’il était proche de la mort. Si jamais tu mettais la main sur l’embryon, tu ferais un seul vœu : que ton frère surmonte sa maladie et que vous puissiez encore jouer ensemble sans avoir peur que la mort ne l’emporte. Chisiki avait compris sa bévue et elle aussi eux l’air un peu triste. Elle l’aimait beaucoup ton petit frère. Yami cessa son observation et vint se planter devant toi. Pour la première fois depuis qu’Ideyoki était arrivé dans la classe il ouvrit la bouche.

- Yuki, arrête de penser à lui, tu sais que ça te fait mal. Alors, concentre-toi sur ton fichu travail pour qu’on puisse enfin le remettre au prof et qu’on ait la paix.

Wow! C’était rare qu’il disait des phrases aussi longues lorsqu’il était en classe avec toi. Au point que même certains autres élèves de ta propre classe, qui n’en comptait pourtant pas beaucoup, n’avaient jamais entendu la voie de ton shugo. Là encore, à part toi, ta petite Chisiki, le garçon assis à côté de toi et son shugo chara, personne ne devait l’avoir entendu. Même, pour ce dernier, tu n’en étais pas sûr. Ce n’était pas grand-chose, mais ton shugo venait de te réconforter un peu. Cependant, tu te disais que ton compagnon de laboratoire devait trouver la scène un peu bizarre. Il se demandait sûrement pourquoi la mention de ton œuf t’avait mise dans cet état… Tu ne pus t’empêcher de penser : pourvu qu’il ne te pause pas de question.


[Désolé, j’ai pris beaucoup de temps à te répondre… les raisons son expliqué dans après ton message d’absence. Si tu n’aimes pas que j’écrive mes Rp à la deuxième personne, tu as juste à me le dire et je vais les écrire plus normalement.]

Le résultat final de la scène que nous avait offert mon chara: Kurai, fut le suivant: l'on apprit que j'avais un deuxième chara. J’espérais bien le laisser tranquille jusqu'à ce qu'il éclot, j'espérais que personne ne sache qui existait jusqu'à ce qu'il puisse se présenter de lui même, comme Kurai. D'ailleurs, je me souvenais qu'il avait pas mal fait l'imbécile le jour de l'éclosion! Semant la pagaille sans que personne ne voie à travers toute la maison, chipant des gâteaux et des chips, dérangeant tous mes vêtements pour se faire sa petite maison, il s'était tout de suite comporté en invité de marque et n'avait jamais hésité à faire ce qu'il voulait. Ce n'était qu'une fois qu’il fut installé qu'il avait enfin accepté de me dire qui il était et ce qu'il était! C'était quelque chose d'assez joyeux, comme souvenir! Il n'y avait jamais eu autant de bruit dans cette maison depuis le décès de Yume et J'avais rêvé des années durant de faire tant de bruit. Même, devant les magasins de musiques, je fixais avec regret les instruments les plus bruyants. Il avait eu beau faire un voeux, c'était celui là qu'il avait eu en tête à ce moment là. Mais revenons à ce qui se passe en ce moment, j'avais vérifié dans mon cartable, rien que pour rassurer Kurai, qui le petit oeuf rose (la honte) était toujours là. L'une des chara de ma camarade de classe; je crois me souvenir qu'elle avait dit s’appeler Chisiki, remarqua l'oeuf et fit aussi la gaffe, car visiblement c'en était une, de dire que Yuki avait un troisième shugo chara qui se reposait tranquillement dans son oeuf en attendant le moment parfait pour se réveiller. La jeune fille préféra éviter le sujet et, sur un regard de reproche en l'égard de son chara, elle me rappela le travail que nous n'avions pas finit. En suite, alors qu'elle se tournait vers sa copie, sûrement pour oublier elle même ce sujet, elle eu cet air triste que je voyais constamment sur les visages de mes proches, et qui s’aggravait quand je disais le mot "Yume" ou simplement que je parlais de rêve. Soudain, le chara qui me fixais depuis un moment et n'avait pas encore dit le moindre mot tenta de remonter le moral à Yuki, cela sembla même marcher très bien. Moi, ce n’était pas mes affaires mais je n’aimais pas voir les gens tristes, raison pour laquelle je fus rassuré de la voir que cela allait mieux. Qu’elle ai deux ou trois shugo chara, je m’en moquais bien, ce n’était pas mes affaires et je ne m’en souciais pas, de toute manière, avec ou sans shugo chara, les gens étaient un peu près tous les mêmes pour moi, mit à part les visages et les caractères qui faisaient bien de changer, sinon on s’ennuierait vraiment à longueur de journée. Je ne me souciais guerre de la raison pour laquelle ma camarade s’était mise dans cet état quand Chisiki avait évoqué son troisième chara, je la connaissais à peine et ses secrets les appartenaient, je n’avais pas envie de savoir. Cela ne ferait que retourner le couteau dans la plaie si je le lui demandais. Je la connaissais à peine et poser ce genre de questions serait indiscret. Je rédigea ma réponse à l’une des questions qu’il nous restait en surveillant les faits et gestes de Kurai qui semblait s’ennuyais un peu, je me garda de lui dire : « si tu essayais de te cultiver un peu et de suivre le cours tu ne t’ennuierais pas. » si il n’en avait pas envie, qu’il fasse ce qu’il veut. Quelques minutes plus tard, il s’approcha de moi et me demanda tout bas, aussi bas qu’il savait parler :

-J’ai entendu tes parents dire qu’ils ne seraient pas là ce soir, tu comptes y aller ?

Je ne tardai pas à lui répondre d’un geste approbateur de la tête. Il me regarda un instant et se mit à réfléchir en planant au niveau du coin de la table. Incroyable : il était calme. Kurai était capable de faire cela : se faire oublier après avoir parlé de Yume. Finalement, c’est moi qui repris la parole, toujours à voix basse :

-Je ne voudrais pas qu’elle se sente oubliée, et si je ne profite pas de l’absence de mon père et de ma mère pour y aller, je n’y irais plus avant un moment.

Il me sourit : je parlais comme si elle était encore vivante et m’attendait à la sortie de l’école.

Ouf, il ne t’avait pas posé de question. Pauvre Yuki, la seule pensée de ton frère te faisait de la peine et tu t’en voulais un peu. Tu savais qu’il n’aimait pas quand tu étais triste…
Tu te concentras sur ton travail, tu devais le finir et ça te changerais les idées.
Vous aviez presque fini de répondre, il ne te restait qu’à finir ta phrase. Le shugo de ton collègue s’approcha de lui et lui dit tout bas :

-J’ai entendu tes parents dire qu’ils ne seraient pas là ce soir, tu comptes y aller ?

Kaito répondit d’un simple geste affirmatif de la tête. Puis, d’une voix toute aussi basse, il reprit après quelque instant :

-Je ne voudrais pas qu’elle se sente oubliée, et si je ne profite pas de l’absence de mon père et de ma mère pour y aller, je n’y irais plus avant un moment.

Tu mis finalement un point final à ton travail. Toi, tu n’avais pas porté attention à la petite conversation, tu étais tout à ton travail. Chisiki non plus n’avais rien entendu puisqu’elle était en plein conversation avec le professeur. Mais, Yami, lui n’avait rien perdu. Il avait beau être ton chara, tu n’avais toujours pas réussi à bien le cerné. Tu savais qu’il observait tout, mais tu ignorais qu’il avait une très bonne ouïe et une mémoire qui aurait rendu jalouse Chisiki. Oui, il était l’incarnation d’un ninja miniature doublé d’un espion. C’était dans sa nature d’être un observateur. Il en savait beaucoup sur les gens de ta classe et il était loin d’être un imbécile. S’il avait été une commère, plusieurs aurai regretté d’avoir croisé son chemin. Mais, toi, tu ignorais qu’il dressait une petite fiche de presque tous ceux que tu croisais. Tu ignorais à quel point il veillait sur toi.
Bref, déjà il avait commencé une fiche sur ce garçon, déjà il se doutait que Kaito avait perdu quelqu’un qui semblait lui être cher. Il s’en doutait seulement, il n’était pas prêt à l’affirmé avec exactitude. Parce qu’il avait aussi une autre hypothèse : peut-être cette personne que Kaito voulait aller voir était encore en vie, mais que ses parents ne voulaient pas qu’il la voie. Bref, tu ne te doutais même pas du raisonnement que venais d’avoir ton petit compagnon. Toi, tu avais continué à lire ton recueil scientifique. Chisiki vint se posé sur ton épaule et te demanda, d’une voix pas trop forte pour ne pas dérangé les autres :

-Yuki, pourquoi les shugo chara n’ont pas d’examen eux? J’aimerais bien que les professeurs nous en donne un de temps en temps, de toute façon, ils savent que nous sommes là, même si ce ne sont pas tous tes professeurs qui nous voient…

-Mais, on sait déjà que tu vas avoir 110% Chisiki, alors pourquoi te faire passer un examen!

Un sourire c’était dessiné sur ton visage. La question de ton amie t’avais presque fait rire et cette dernière ne trouva rien à redire sur ta réplique. Le professeur vint ramasser vos feuilles et fis de même avec celles de toute la classe. Toi et ton coéquipier avez rangé le matériel et vos cahiers. Puis, le professeur dit avec son éternel air jovial :

-Vous avez bien travaillé aujourd’hui… comme tout le temps en fait… Je ne vous donnerais pas de devoir cette fois, ça va laisser un peu de temps à votre nouveau camarade de classe de lire la pille de note que je lui aie remis… Surtout qu’il risque d’en avoir une semblable dans plusieurs matières.

Il marqua une pause. Avant de reprendre :

- Le prochain cours sera dans la classe régulière, vous n’aurez pas de laboratoire. Sur ce, bonne journée.

La cloche sonna. L’horloge de la classe de laboratoire devait être à la seconde près, car ton professeur disait souvent le mot de la fin juste avant la sonnerie. Tu te levas et dit à Kaito :

-Nous allons en cours de sport. On va être jumeler avec une classe de cœur, puisqu’on est peu nombreux.

Oui, vous étiez souvent jumelé avec d’autre classe en sport. Tu n’étais pas trop mauvaise dans cette matière, même si les notes que tu obtenais en sport n’étaient décidément pas à la hauteur de celles des autres matières. Il y avait entre 10 et 20% de différence et ça t’énervais un peu.
Tu te dirigea vers la sortie.

J'ai créée la partie cours de sport.

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